Après une visite éclair de
la ville, nous remercions Peter et Vyara pour leur accueil et tentons
de nous échapper de l'agglomération.
Vyara, Peter, merci ! |
Quand on navigue, il y a : là
où l'on est, là où l'on nous dit qu'on est, et là où on croît
être. Le fait est que sur la zone de l'université, les panneaux
désorientés nous ont fait tourner en bourrique : on n'était ni là
où on croyait être, ni là où on nous disait qu'on était.
C'est après avoir rusé et
usé de notre anglais, que nous nous sommes échappés de ce piège
d'étudiants.
L'arrivée au camping est encore une fois un grand moment, non qu'il soit mal indiqué, mais que parmi toutes les indications et affichages en allemand que nous ne lisons pas, bien difficile de trouver comment trouver le gérant. Langage des signes aidant, le gérant est débusqué de sa tanière et oh bonheur, il parle anglais !
La soirée se passe autour de
deux pintes et deux pizzas, nous fêtons nos 1000km.
Le lendemain est consacré à
bouffer de la route, du sentier, du pavé et de la piste. Tout ceci
appartenant à cet itinéraire vélo national...
Le lutin de la tente |
Au petit matin, nous sommes toujours vivants, le tarp a bien servi pour protéger une partie de la tente et nous repartons.
La tente du lutin |
Nous traversons les nouveaux quartiers de Hambourg, pressés par le temps et l'appétit. Heidi nous accueille pour la nuit, nous et le tandem que l'on rentre au sous-sol après quelques péripéties dignes d'un déménagement.
Après une petite après-midi passée à déambuler sous la pluie battante, nous préparons un bon petit repas pour notre hôte et passons une soirée très sympathique en sa compagnie !
Bonjour les voisins du dessous
RépondreSupprimerJ espère que vous allez bien ? Nous vous félicitons pour les 10 000km parcourus. Vous avez l'air de faire de supers rencontres.
C est génial.
Les voisins du dessus
Sandrine Agathe et David de tournefeuille