Qu'il est difficile de
quitter John et Anne ! À notre arrivée, détrempés, nous avions pu
faire sécher quasiment toutes nos affaires sous la douce chaleur du
poêle à bois, faire des nuits de plus de 10h, goûter divers bon
plats au poisson du coin, et discuter jusqu'à pas d'heure dans la
nuit claire.
Bref, c'est dur de repartir !
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| Anne, John, merci ! |
Mais avant de bifurquer vers
le sud, nous allons voir le pittoresque petit village de pêcheurs de
Sto, un peu plus au nord. Voilà qui est fait, avec presque un peu de
soleil en plus !
Aller, maintenant, on rentre
à la maison qui est tout au bout très loin de cette route ...
On évite la grande route et
le vent en faisant un court détour sur la côte est. Partis très
tard (après midi ?), on est complètement décalés pour les repas
et on prend un goûter pain-sardine-beurre-tomate sur une table de
pique-nique cachée de la route.
C'est pas qu'il fait mauvais,
mais la température se traîne autour de 10°C, le vent est fort sur
la côte et pas très favorable. Ça change des photos de John et
Anne, par grand soleil estival...
Le soleil de minuit étant
encore là (enfin, au-dessus des nuages) et sachant que la météo se
dégrade pour le lendemain, nous continuons de rouler jusqu'à tard,
voire très tard.
Après un repas de pâtes sur
une aire de pique-nique très calme à 22h, nous sommes bloqués à
Melbu par les horaires du ferry et plantons la tente à 1h du matin
dans un champ pas loin, bercés par les mouettes.
Courage, les Lofoten se rapprochent!
RépondreSupprimerJ'entends d'ici les oiseaux logés sur les falaises, ambiance flottante et infinie du soleil de minuit! C'est toujours un plaisir de vous suivre depuis Toulouse dans ce valeureux voyage.
Et comme on dit ici : respect!!!!
A bientôt,
Marie-No